Silencieuse et à la retenue depuis le début de l’affaire l’opposant à son ancienne locataire, Francine Afane, bailleresse et propriétaire de la maison située à odza, a livré sa version des faits au cours d’un point de presse le 18 Mars 2024.
Face aux sorties rocambolesques de son ex locataire, aux bruits ça et là entretenus par certains soutiens chers à celle-la; le propriétaire légal du domicile d’où Marlène Emvoutou avait été extrait pour filouterie de loyer affirme par devant son avocate que, «… Notre attention a été portée sur le fait que Madame Emvoutou Aka’a Marlène, qui a été notre locataire dans cette demeure qui vous accueille, a purement transformé l’objet de la procédure. Dorénavant, dans ses directs qu’elle fait dans différentes plate-formes digitales avec une forte audience, loin d’être une affaire civile qui oppose deux camerounaises que nous sommes, loin d’être une affaire qui oppose le bailleur que je suis à son locataire qu’était Marlène Emvoutou, ma maison devient l’objet d’une querelle politique, d’une histoire de tribalisme ».
Indigné; la bailleresse qui avait été jusque là calme et patiente, consciente de la situation de sa locataire, tient à mettre les choses au claire, « Afin d’éviter tout amalgame, je tiens à préciser que, contrairement aux allégations mensongères, laissant entendre, mieux, laissant croire que j’aurais bénéficié d’un appui venant du haut pour l’expulser de la maison, il n’en ai aucunement rien. La personne citée par Madame Emvoutou et dont je refuse de prononcer le nom ici, s’il est vrai que je la connais par voie de médias, il n’en demeure pas moins que de cette dame, je ne connais ni d’Adam ni d’Eve ».
Alors que l’affaire du bail locatif opposant Marlène Emvoutou et Francine Afana reste pendante devant les tribunaux, la dernière citée prend à témoin l’opinion publique nationale et internationale; rassure que sa maison ne doit faire l’objet d’aucune manipulation politique, surtout qu’il n’y a aucune relation entre les démêlées politiques et judiciaires de son ancienne locataire, et la question de la maison dont elle a voulue s’accaparer de force.
C’est donc consciente des procédures judiciaires en cours et relatives à l’affaire du bail locatif que Francine Afana a bien évité de faire des commentaires sur le contenu de celles-ci. « Je fais entièrement confiance aux différentes juridictions, c’est un est un problème entre deux individus dont l’un, Francine Afana accuse l’autre, Marlène Emvoutou de filouterie de loyer et destruction de biens ».
